Le groupe Star Entertainment a demandé à poursuivre l’exploitation de son casino de Sydney « sous stricte surveillance » après avoir été jugé inapte à détenir une licence au sein de la Nouvelle-Galles du Sud.
En réponse à la Commission indépendante des casinos de Nouvelle-Galles du Sudaprès la remise du rapport accablant d’Adam Bell au début du mois, Ben Heap, président intérimaire de Star, a accepté les conclusions, y compris celle de l’aptitude, et a reconnu la gravité de la conduite citée.
Au moment de la publication, Philip CrawfordLe commissaire en chef de la NICC, Philip Crawford, s’est penché sur un rapport « franchement choquant » qui « identifie des défaillances systémiques en matière de gouvernance, de risque et de culture ».
Ces lacunes comprennent des déclarations erronées à la Banque de Chine, la gestion et la surveillance de l’équipe VIP internationale, de « sérieuses lacunes » en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme et des inefficacités en matière de minimisation des dommages et de jeu responsable.
Dans une longue réponse, Heap a abordé les « mesures correctives importantes et urgentes » prises jusqu’à présent, qui comprendraient l’augmentation du personnel chargé des risques, de la conformité et de la sécurité, l’approbation de la mise à niveau des technologies de surveillance, ainsi que l’abandon définitif des junkets et la fermeture de la boîte de nuit Marquee.
« TSEG s’engage à prendre des mesures supplémentaires nécessaires et appropriées dans des délais précis pour résoudre les problèmes soulevés par M. Bell, afin que la Commission puisse être convaincue que le Star Sydney a pris des mesures suffisantes, et s’est engagé à prendre des mesures supplémentaires, afin de pouvoir continuer à détenir sa licence », a noté M. Heap.
En outre, l’opérateur de casino et de divertissement a également mis en avant un « plan de remédiation complet » qui, à travers une stratégie pluriannuelle, a pour but de transformer la gouvernance, la responsabilité et les capacités, la culture et les pratiques de gestion des risques et de la conformité de l’organisation.
« Nous avons l’intention de faire tout ce qui est nécessaire, en consultation avec la NICC, pour remettre le Star Sydney en état », a ajouté M. Heap.
« Nous pensons que la mesure appropriée que la NICC devrait prendre est de permettre à TSEG de continuer à exploiter la licence, sous une supervision stricte et en étant tenu de respecter les étapes du plan d’assainissement. La réalisation de ces étapes devrait donner à la NICC la certitude que TSEG a rétabli son aptitude. »