Institutions associées à CECA ont obtenu un résultat global attribué de 7,079 millions d’euroscontre 2 129 millions d’euros l’année précédente. Le résultat 2021 tient compte de l’impact extraordinaire des fusions dans le secteur, sans lequel il est de 3 336 millions d’euros.
Comme ils l’expliquent, la vaccination et le début de la reprise économique ont permis. réduire les pertes de valeur sur les actifs financiers au cours de l’année (2 557 M€ de moins qu’en 2020), ce qui a favorisé l’amélioration des résultats et porte le rendement des fonds propres (ROE hors ajustements extraordinaires) à 5,7 % en 2021, contre 3,5 % l’année précédente, retrouvant ainsi les niveaux de ROE d’avant la crise des soins de santé.
Du côté des revenus, le revenu net d’intérêt a diminué de 5,3 % en raison de la persistance de l’Euribor à des niveaux minimums, ainsi que des changements dans la structure du portefeuille, avec un poids plus important des prêts ICO et une certaine proportion de prêts à la consommation. la baisse des revenus des prêts à la consommation et des prêts à revenu fixe..
Le renouveau commercial a permis à un reprise des commissions (10,5%)Cette amélioration n’a pas compensé la baisse du revenu net d’intérêts, du revenu net de négociation (NTI) et du résultat d’exploitation, mais elle n’a pas compensé la baisse du revenu net d’intérêts, du revenu net de négociation (NTI) et du résultat d’exploitation.
Du côté des dépenses, l’effort de restructuration Les restructurations effectuées par les institutions ont conduit à une légère réduction des charges d’exploitation (-1,9%), hors coûts extraordinaires liés aux processus de fusion. Le taux d’efficacité (hors coûts extraordinaires) a été légèrement plus élevé qu’en 2020, à 58,5%, en raison de la baisse des revenus bruts.
Malgré le ralentissement cyclique de l’économie dû à la pandémie, le doute sur le crédit reste modéréL’ensemble du secteur s’est établi à 3,8 % en décembre, soit 0,4 point de pourcentage de moins que le taux enregistré fin 2019 et 0,4 point de pourcentage de moins que celui des institutions de dépôt dans leur ensemble.
De même, en ce qui concerne la solvabilité, les institutions du secteur ont atteint un ratio CET1 de 13,4 % en décembre 2021, un niveau similaire à celui d’avant la crise du COVID-19 et dépassant confortablement les exigences minimales de fonds propres demandées par la Commission européenne. Banque centrale européenne (BCE).