Le site Association nationale des entreprises de grande distribution (ANGED) a averti que l’arrêt du transport est devenu « un problème d’État » et que « plus de 100 000 emplois sont menacés », selon une déclaration de l’organisation patronale.
« C’est un conflit qui est devenu un problème d’État avec un impact sur l’économie et les citoyens qui ne peut être retardé. Ee chômage a déjà un impact majeur sur l’ensemble de la chaîne alimentaire. -secteur primaire, industrie, transport et distribution, causant de graves dommages économiques, la paralysie et la fermeture d’usines et la mise en danger de plus de 100 000 emplois.« , ont-ils affirmé.
L’ANGED et les autres signataires (ACES, ANGED, ASEDAS, Cooperativas Agroalimentarias et FIAB) du communiqué ont pris les mesures suivantes un appel au gouvernement espagnol pour une « intervention urgente ». et exigent « que la sécurité et le droit au travail des transporteurs qui ne veulent pas se joindre à la grève soient garantis », ainsi que « que ceux qui la soutiennent ne contraignent pas le reste des secteurs de la chaîne et n’entravent pas la libre circulation des marchandises ».
« Face à cette situation, les entreprises de distribution s’efforcent d’adapter leur assortiment, en essayant de remplacer les produits qui n’atteignent pas le point de vente par d’autres alternatives, afin que les consommateurs puissent effectuer leurs achats le plus normalement possible », ont-ils expliqué, citant, entre autres, des entreprises telles que Calvo, Azucarera o Cuétara et d’autres comme Danone o Étoile Galice « qu’ils devront le faire dans un avenir proche ».
« Si le chômage se maintient, les dommages causés à un secteur qui contribue à l’économie espagnole plus de 4,5 millions d’emplois et 20 % du PIB peut être irréparable« , ont-ils dit.